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Ne plus voir Malacca en peinture

Photo du rédacteur: CharlesCharles

Eh bien si justement, faute de pouvoir déambuler librement en ville voici quelques images « anciennes », des artistes de rues locaux.





Vous vous rappelez peut être cette époque révolue, incertaine où on laissait les gens divaguer dans les rues au risque d’y faire de mauvaises rencontres.

Enfin les galeries d’art malaccaises qui rouvriront leurs portes bientôt (?) sont plus ou moins performantes selon les goûts et les couleurs de chacun connaissent un bel essor depuis… depuis 2008.


Etonnant non !


Entre l’artiste de rue récréant une rue, un monument ou une scène de la vie quotidienne, les peintres spécialisés dans les scènes de poissons rouges barbotant dans des bassins de nénuphars et les galopantes envolées de chevaux s‘entremêlant les pinceaux dont raffolent les Chinois ou encore l’artiste occidental tenté par l’aventure ce ne sont ni les styles, ni les artistes qui manquent.


Charles Cham « orang outang house » qui suivit un cursus des beaux-arts en France, (un artiste bien établi à Malacca dont les graphismes associés avec de petits messages style « To lah or not to lah ? » séduisent toujours) me confiait un jour que non, rien de comparable avec Pont-Aven, aucun style propre à Malacca n’a vu le jour, ici chacun peint comme il l’entend sans se préoccuper de ce que fait le voisin.


Peu d’endroits peuvent se targuer d’avoir attiré des Paul Émile Bernard, Paul-Émile Colin et autres Paul Gauguin qui firent la célébrité de Pont-Aven.


L’école de Malacca n’est certes pas pour demain, ni après-demain, enfin il est/était/sera toujours plaisant de croiser au détour d’une rue quelques artistes à l’œuvre.


Et en ce moment on ne peut dire que les peintres soient perturbés par l’afflux de touristes, ni même des visiteurs at home.

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