« La nuit malaccaise » histoire de paraphrasé Jean Hougron (le romancier se lit très bien au passage), présentement un mixe d’images recueillies au fil des ans qui évoque une autre Malacca qui se dévoile après les turpitudes du jour.
Découvrir Malacca à la brune, un thème de visite en solo, en famille, entre amis….
Généralement le visiteur d’un soir prend un verre sur la rivière, dine un peu plus loin, traine encore un peu et regagne tranquillement ses pénates malaccaises, par défaut l’autel dédié au culte des ancêtres fera l’affaire.
Si, si, je trouve quelques similarités entre les divinités étrusco-romaines et le culte des ancêtres, après tout ils marquent un « chez-soi ».
Alors pourquoi ne pas prolonger votre marche digestive en passant par la rue de l’harmonie ? Ce n’est pas le véritable nom de la rue mais les divers lieux de cultes et religions s’y entremêlent sur quelques dizaines de mètres.
Évidemment les portes seront closes, certaines farouchement gardés par des dragons mais bon cela à son charme